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La culture de la qualité : une responsabilité partagée


Depuis quelques années, l’industrie agroalimentaire se transforme considérablement. La demande constante des consommateurs pour de nouveaux aliments, la modification de nos habitudes ainsi que la mondialisation ne sont que quelques exemples illustrant ces changements. Pour demeurer compétitive, l’industrie doit constamment innover et trouver des façons de diversifier et d’optimiser les opérations.

Dans ce tourbillon, un point majeur demeure toujours d’actualité; la qualité et la salubrité des aliments. C’est une évidence que l’on tient souvent pour acquis. Au restaurant ou au supermarché plusieurs d’entre nous assumons que la nourriture que nous achetons ou consommons sur place est de qualité et surtout sécuritaire. Pourtant, malgré tous les efforts déployés par l’industrie et les différents gouvernements, les manchettes font régulièrement état d’infections et parfois même de décès causés par les aliments. Dans tous les cas d’intoxication alimentaire, les autorités mènent une enquête et des causes (ou coupables) sont identifiés. Des mesures sont habituellement prises très rapidement pour éliminer les causes de l’intoxication.


Avec tout le volume de nourriture en circulation, les autorités ne peuvent pas tout voir ni tout contrôler. En 2021, la responsabilité de la salubrité des aliments est, plus que jamais, partagée. Tous les acteurs de la chaîne alimentaire participent à l’effort. Plusieurs gouvernements, dont le Canada, ont modernisés leurs règlementations, les transformateurs et manufacturiers se certifient et les distributeurs et détaillants imposent de plus en plus de contrôles à leurs fournisseurs. C’est facile de s’y perdre…


Je n’apprendrai rien à personne en disant que la salubrité des aliments est la responsabilité de tous. Peu importe le secteur, la certification ou la règlementation, c’est la somme de tous les petits gestes et de toutes les mesures de contrôle réalisés au quotidien qui font une différence. Une accréditation ou une certification est un pas dans la bonne direction mais n’est pas un gage de succès. Au-delà des normes, l’innocuité et la qualité des aliments doit s’inscrire dans une démarche précise et s’aligner sur des objectifs corporatifs. Plus qu’une simple police d’assurance, un programme qualité est un véritable outil de développement qui démontre l’engagement d’une organisation envers elle-même et envers sa clientèle. C’est pourquoi on parle beaucoup dernièrement du développement d’une culture de la qualité dans les entreprises. À mon avis comme pour plusieurs intervenants de l’industrie, dans chaque entreprise, l’implantation d’une culture de la qualité doit absolument se faire en synergie avec les objectifs corporatifs. Pour atteindre ces objectifs, l’adhésion et le leadership des équipes de direction est essentiel. C’est l’essence de la culture de la qualité.


La définition des objectifs, l’évaluation et le choix des outils pour atteindre ces objectifs ainsi qu’une communication efficace dans l’entreprise sont autant d’étapes qui peuvent paraître abstraites mais qui n’en demeurent pas moins cruciales. Pour débuter un tel projet du bon pied, le recours à un œil extérieur, neutre et objectif est souvent l’avenue qui offre le meilleur retour sur investissement.

 

Comme toute bonne stratégie d’amélioration continue doit être assortie de paramètres d’opérations bien définis et de mesures de contrôle, ValkarTech contribue de façon impartiale avec vos gestionnaires pour la mise en place de systèmes d’évaluation de la conformité et de la sécurité sanitaire de vos installations et de vos produits. ValkarTech agit en partenariat avec l’industrie alimentaire pour assurer la conformité des produits tout au long de la transformation, sans en compromettre la qualité, en optimisant les opérations pour améliorer les performances.



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