La qualité de l’air intérieure est devenue une question importante en matière de santé et sécurité au travail. Pour assurer le bien-être du personnel en entreprise, il faut non seulement s’occuper de la propreté de nos bâtiments, mais aussi de nos conduits d’air.
Tout comme le sol, l’air peut aussi accumuler de la saleté, ou plus précisément des substances indésirables et apporter différents malaises nocifs pour les occupants que l’on désigne de diverses façons : syndrome des bâtiments malsains (SBM), syndrome des édifices hermétiques (SEH), maladie liée aux immeubles (BRI) ou sensibilité aux agresseurs chimiques.
Voici quelques exemples de contaminants courants de l’air intérieur :
Dioxyde de carbone (parfum, odeur corporelle)
Contaminants microbiens, champignons, moisissures, bactéries provenant des ozones humides
Acariens provenant des tapis, tissus, coussins de sièges
Ozone provenant des photocopieurs, des moteurs électriques et des ordinateurs
Vapeur toxique provenant des produits d’entretien ménagers
QUELS SONT LES SYMPTÔMES LES PLUS FRÉQUENTS D’UNE PIÈTRE QUALITÉ DE L’AIR ?
Les gens signalent souvent un ou plusieurs des symptômes suivants :
Sécheresse et irritation des yeux, du nez, de la gorge et de la peau
Maux de tête
Congestion des sinus
Hypersensibilité et allergies
Fatigue
Étourdissements et nausées
Essoufflement
En général, les gens prennent conscience de leurs symptômes après plusieurs heures passées au bureau et se sentent mieux après avoir quitté le travail, ou après une fin de semaine. De manière générale, la qualité de l’air a déjà été reconnue par de multiples études comme un facteur important sur la productivité des occupants.
COMMENT AGIR SUR LA QUALITÉ DE L’AIR AU BUREAU ?
Assurez-vous que le système de climatisation ou de ventilation est régulièrement nettoyé et que les filtres sont changés
Placez les photocopieurs loin des bureaux
Veillez à ce que les produits d’entretien, la peinture, les solvants ou tout autre produit chimique soient dans des endroits bien ventilés.
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